Cet article s’est malencontreusement affiché le 21 mai, mais c’est aujourd’hui la publication; ne cherchez pas à comprendre, je n’y arrive pas!
Le 25 mai dernier, sur ce même blog, dans l’article titré « Ce bloc de temps pétrifié » et le 28 mai dans celui titré « Reliques bergères », je vous ai parlé de ma « veste de mémoire » une installation à mettre en place dans le Causse périgourdin (entre Sorges et Coulaures sur l’ancien terrain militaire); voilà qui est fait! Et comme la plupart d’entre vous habitent loin, petit aperçu de mon installation:
La 1° mise en place avant les « oriflammes »
Les détails ajoutés petit à petit et sur place:
Petit à petit, dans une poche, l’oiseau a fait son nid!
En s’approchant de la clairière:
On y est, c’est LA. Comme si vous y étiez!
C’est en place tout l’été, perdu au coeur de cet endroit déserté qui fut autrefois habité et largement parcouru. Merci chères amies-ailées qui étiez du voyage au fin fond des bois. A dimanche soir !