Et encore un napperon réutilisé!
Quand je suis en voiture, près de chez moi, je n’ai pas l’impression que la route monte; quand je suis en vélo, je vois bien qu’il faut changer de vitesse, que la côte est longue et que je m’arc-boute sur les pédales……………..Il en est de même avec mon « vanity », il va vous paraître simple, mais que de fois ai- je défait, refait, coupé, déplacé…….!
« L’important dans la vie, ce n’est point le triomphe, mais le combat » écrivait Pierre de Coubertin, re-créateur (après les grecs!) des Jeux Olympiques. Je ne sais pas si c’est bien fait ou pas, mais je suis contente d ‘en être venue à bout, ouf, ouf!
Pour une fois, me direz -vous, j’avais pris un patron (Colette pour l’atelier de Patricia Martin http://latelier16.canalblog.com/! Ben oui, mais je n’ai pas bien vu les différences de taille proposées, ai confondu le patron et les pièces à couper, ai cousu la poignée dans le mauvais sens…Bref, je me suis emmélée les pédales (de machine à coudre!) Trop nulle!!!
N’empêche: la nomade que je suis pourra emporter le flacon de shampoing, le démélant, la crême; la hauteur est parfaite. Et, vous avez vu? J’ai cousu sur le dessus un napperon au crochet chiné sur une brocante pour 50 ctmes d’euro; 100% récup’! Il est tout simple, neigeux sur le lin :
« Aux enfants, on apprenait jadis que Dieu est dans le ciel.
Mais qui leur apprendra que le ciel est sur terre,
partout étincelant dans les choses simples ? » (Bobin)
Zut, j’ai oublié de vous parler de sa doublure, un tissu lui aussi chiné: des fleurs de coton, regardez-le (sous le « vanity ») :
Quand c’est fini, on est contente, même si ce serait plus rapide de l’acheter tout fait et « made in China », mais serait- il aussi solide? Serait -il le mien? Serait- il orné d’un beau napperon laiteux? Non! Voilà la réponse au pourquoi du « fait-main », (que certaines appellent le « DIY » et ma foi, j’ai bien utilisé le mot « vanity »! )…………..
Sur la photo ci-dessus, une mini-machine à coudre pour enfants de ma collection perso, je vous en reparlerai (j’en ai une quarantaine!).
A vendredi (ou dimanche), mes amies si gentilles qui me pardonnez tant de choses! Ne vous laissez pas couper les ailes, et, comme moi, continuez de chercher VOTRE chemin…**Celui de la ruche lui, n’est pas difficile à trouver!
** »Avance sur TA route, car elle n’existe que par TA marche » (Saint-Augustin)