Je n’aime pas parler de moi, ni de ma famille, mais vu mon accident, que je ne peux me déplacer qu’en ayant très, très mal, je ne vais vous montrer que ce que j’ai fini tout récemment, en gardant le ton qui est le mien ; on pourrait ainsi aller jusqu’à noël…………..après, on verra…………….Au jour le jour !!!
Ce qui m’ennuie, ce sera d’emballer et envoyer certains petits trucs faits pour certaines ; je ne peux pas embêter mon mari qui bosse dur les 3 semaines à venir; il est absent toute la journée. Chercher, emballer, poster, il ne pourra pas……..…Surtout MERCI à vous pour votre gentillesse: j’ai énormément de chance!
Plissé et jours sur ardoise III
Récemment , je vous ai parlé de deux travaux de plissés et jours sur ardoises (pour une expo sur le thème des jours aux 2 sens (temporel et textile) du mot. (Voir le travail préparatoire dans Larguez les amarres et les plissés I et II dans Ne marche pas si tu peux danser) Mon intention étant de présenter un triptyque, j’ai terminé celui auquel je réfléchissais aussitôt après les deux premiers (Aube et couchant): Jours indiens. Vous verrez plus tard un travail plus original encore sur des plissés articuliers. Chaque chose en son temps. Les jours indiens approchent:…
DETAILS:
Matériaux: fibres Angélina, plissés, ardoise passée à l’huile de lin, piques de porc-épic, batik, plume de paon, motifs à appliquer rapportés d’un marché du Gujarat( ouest de l’ Inde) : motif cachemire et plume de paon.
Où l’on en apprend un peu plus sur ce fameux motif Cachemire (appelé par les anglo-saxons « paisley »;il s’agit en fait d’une représentation symbolique de la mangue; les indiens l’appellent Boteh mot d’origine persanne qui signifie « bouquet de fleurs^ »)
« On appelle bonheur un concours
de circonstances qui permet la joie.
Mais on appelle joie cet état de l’être
qui n’a besoin de rien pour
se sentir heureux ».
(André Gide)
« Tout incendie commence par une étincelle.
Celui qui brûle comme celui qui irradie.
Celui qui nous éveille comme celui qui nous détruit.
Veille à tes pensées.
Elles éclairent comme elles obscurcissent le monde.
Chaque matin, cherche l’étincelle, l’éclair qui allume en toi le jour.
Nous ne sommes pas nés seulement pour voir les choses
mais pour voir le jour dans lequel s’épanouissent les choses.
Beaucoup meurent sans avoir « vu le jour ». (Jean-Yves Leloup)
Continuez chères amies -ailées de « chercher l’étincelle », brûlons de passion.