Tout récemment, vous avez vu ici, la teinture par diffusion, l’étiquette; il reste à voir le dos, le dessus, l’écrin. Un article bien copieux, donc soit vous allez voir avant celui- ci, le précédent (1/2) soit vous passez directement à ce qui suit.
1- l’écrin du journal textile ou livre -rouleau 4:
2- le dos du rouleau (scroll book) qui fait tout de même 30 cms de large et 1.40 de long! (teinture à l’avocat par ligature)
3- Le dessus du journal textile et livre rouleau 4:place aux photos que vous pouvez agrandir d’un clic. Si vous avez des questions, je réponds toujours aux commentaires …ce que ne fait pas tout le monde!
a-Les détails
.b-Le livre -rouleau textile déroulé: en piqué libre, une citation de Thich Nath Hanh qui dit l’équilibre, l’harmonie du monde où chaque création a sa place
« Si vous êtes un poète, vous verrez très bien qu’il y
a un nuage qui flotte sur cette feuille de papier
Sans nuages, il n’y aura pas de pluie; sans pluie,
les arbres ne peuvent pousser, et sans arbres, nous
ne pouvons faire du papier. Le nuage est essentiel
pour que le papier puisse exister. Si le nuage n’est
pas là, la feuille de papier ne peut pas être là non plus. »
Le cœur de la compréhension –Thich Nhat Hanh
« Je jette mes filets dans les eaux scintillantes
Et ramène mêlé aux algues ruisselantes
Comme un rêve oublié, un pan de ciel vermeil. »
– Pierre Osenat
Il est temps de vous laisser souffler après ce grand vent de photos qui rime avec A bientôt!
Un bel hommage au Printemps des poètes aussi.
Que de beaux détails à admirer grâce à tes gros plans : une comète bleue, un nuage, les arbres… Beau poème, si bien illustré, quel travail !
Bravo Anne .pour cet hommage à la pluie aux arbres à la nature inspiré par la citation de ce moine bouddhiste vietnamien …dessiner au pyrograveur sur textile c’était je crois Une première pour toi …je pense que tu dois être assez satisfaite du résultat et tu verras en répétant l’exercice on trouve de nouveaux trucs qui offrent une ouverture vers d’autres réalisations …j’aime beaucoup tes petits nuages brodés …encore bravo l’artis’Anne…
Oui, pauvre printemps disparu sous les infos coronavirus…..Bises, Maîté!
Tania, pas de travail: « quand on aime, on ne compte pas……………. »On me propose une autre expo où ca ira bien…………….Dehors, en juillet……..Amitiés!
Anonyme? Ca ressemble à du Gigi!
J’ai fait effectivement de la pyrogravure avec mes enfants petits; sur tissu, oui, c’est une 1°!
quant aux nuages, ils m’ont pris du temps, beaucoup, c’est presque un ouvrage météo! Lis ce que j’ai dit à Tania, une belle expo m’est promise, le livre rouleau y figurera!
Merci!
Amitiés!
Bonjour Anne. J’imagine bien le temps passé à réaliser cette merveille, et j’admire la créativité que tu as déployée. Bisous
oui bien belle citation et belle interprétation, comme Tania j’aime bien me promener dans ton livre au gré des détails… feuilles-plumes, feuilles-pages, feuilles-nuages,arbres-nuages…bravo à toi et merci pour ce voyage que tu nous offres 🙂
Magnifique livre rouleau plein de délicatesse ! C’est un plaisir de s’attarder à admirer tous ces détails. Si le printemps de décidé à s’installer, peut-être en profiterai-je pour broder dans le jardin en profitant de l’annulation de toutes mes activités extérieures ? Nous avons de la chance de ne pas devoir nous confiner dans un appartement….
Ton tissu teint se prête à merveille à cette « météo » si habilement brodée ! Les volutes me font parfois penser à la brume qui entoure certains lac les matins de novembre… Quant à cette idée de pyrogravure pour dessiner les arbres, c’est super ! Ils semblent avoir été teints avec le tissu, c’est vraiment magnifique ! Tu ne cesses d’innover et ce, pour notre plus grand plaisir ! Bisous
Merci Brigitte, la création est nécessaire; pour certaines c’est dans leur jardin, dans leur vie, dans leur cuisine, dans leur broderie, chacun son domaine! Merci à toi de ton passage!
Merci vraiment Cécile, tu me fais plaisir, car moi, je vois un défaut que je n’aime pas; lors du travail final, j’avais une autre idée oubliée en travaillant………je pourrais défaire, mais bon, la paresse, la crainte d’abimer……..Bref, amitiés à toi!g
Merci Christine, le printemps est là, nous avons déjeuné dehors dans le jardin, et tenté d ene pas penser à nos voyages annulés, reportés..Toute une organisation à revoir!!! En attendant, le Week-end: carpe diem!
Bonjour Marie- Laure, Les volutes moi, m’évoquent un motif qu’on trouve parfois sur certaines voûtes indiennes représentant le ciel (par exemple dans le palais de Bikaner) je dois avoir des photos, mais préfère faire travailler mon imaginaire.
Je ne me copie pas, et j’y trouve plaisir alors si en plus mes lectrices sont heureuses de la diversité, ça, c’est une joie immense. tu es fidèle, merci, merci!!!
Passe un doux Week-end (confiné!)
PS le tissu a été teint en vue de ce projet, alors forcément il y une relation! ce n’est pas un tissu teint comme ça, sans but, mais la citation était trouvée avant.a
Tout simplement superbe ! Bizz
Ah la poésie, nous en avons bien besoin en ce moment et nous en abuserons… Bises. brigitte
Merci Sylviane, je vois ce qui ne va pas, mais je ne déferai pas; tu le sais, défaire, c’est mâcher le tissu, l’ abîmer. tant pis, le suivant sera mieux!
Merci à toi plumes d’ange- Brigitte; la poésie, c’est à nous de la mettre dans notre existence! Bons baisers!
Anne
Je viens de regarder tes deux articles. Quel voyage au pays de la teinture, de la poésie, de la broderie, de la sagesse… J’aime aussi beaucoup la pyrogravure. Je n’en avais jamais vu sur tissu! Superbe livre rouleau! Bises douces.
Bonjour Annie, j’aime bien les 2 arbres aussi et j’ai aimé ciseler les détails (et d’ailleurs l’arbre tout entier !) en pyrogravure, car ces couleurs « brulée » vont avec mon fond! Et j’ai aimé les faire! Merci, je vais répondre à ton email. Bisous!
J’aime beaucoup la silhouette d’arbre en pyrogravure…
c’est bien difficile de broder les nuages . j’ai découvert la variété des textures des nuages lors d’un voyage en Irlande.Depuis j’aime aussi les ciels gris qui ne sont jamais uniforme.
J’ai adoré Françoise, l’Irlande; c’était il y a longtemps, j’y avais trouvé un boulot; Deux grands étés là- bas, et ces gens attachants…