« Créer, – voilà la grande délivrance de la souffrance,
voilà ce qui rend la vie légère » (Nietzsche)
1- Jamais, je ne dirai assez comme la création et la créativité rendent heureux. Quelle qu’elle soit. La mienne est textile. Et va de pair avec les mots! Ceux -ci ne sont pas très lisibles sur mes 1° photos….1° livre- accordéon sur textile moucheté qui semble venu d’ailleurs…Air ancien qui me plaît…:
« Parfois notre lumière s’éteint, puis elle est rallumée par un autre être humain. Chacun de nous doit de sincères remerciements à ceux qui ont ravivé leur flamme. » (A.Schweitzer)
Deux motifs indiens strassés (bazar de Delhi et Jaïpur )-cf dessous la couverture du livre accordéon textile:
La doublure, superbe; vient de mon stock. J’avais ce batik depuis longtemps (et les photos comme dans tout l’article n’en rendent pas la beauté et l’éclat):
Jamais, je ne dirai assez comme le partage rend heureux. 2-Carte à fenêtre avec du wax; pour un ami africain. Il a besoin de ces couleurs pour retrouver son pays d’origine…qui est celui où je suis née: le Cameroun. La carte fera le lien avec une autre carte- livre en piqué libre:
3- Cette carte au- dessus crée le lien avec une autre carte- livre en piqué libre, très différente : elle a été crée pour l’anniversaire de Tania (le blog http://textespretextes.blogspirit.com/)Carte- livre envoyée dans une boite blanche ornée de broderies assorties. A l’intérieur de la carte, un texte d’Etty Hillesum dont elle avait longuement parlé:
Ma machine a eu des difficultés; on peut trouver à redire sur le point du piqué libre. Elle nécessiterait des réglages. Mais je ne peux vivre sans ma machine!…
Chercher en nous- mêmes, chercher dans les livres.
La carte double contient donc à l’intérieur le texte d’Etty Hillesum, sa couverture est ornée du nom du blog de Tania et d’un dessin brodé de style glazig (Hélène Cario, Fil harmonie- ed Coop breizh)
La dernière de couverture:
J’ai brodé un rectangle du même tissu et l’ai posé- collé sur une belle boite blanche de chocolats qui contenait la carte:
» On voudrait parfois remercier quelqu’un, pour la lumière du jour, la douceur de l’air, le parfum des fleurs, les couleurs du soir, toutes choses qui ne dépendent de personne et dont on aimerait pouvoir dire que l’on a compris combien elles sont précieuses : on va en prendre soin, c’est promis, la beauté est fragile et c’est cette terre où nous vivons qui se tient en équilibre comme un insecte sur un pétale de fleur… » Jean-Michel Maulpoix